🎥 Video LinkedIn 9’20
Épisode Majelan (application payante) :
« Contrôler son cerveau » - extrait : « l. Avec le développement incroyable du cortex cérébral, homo sapiens a trouvé aujourd’hui une invention incroyable. Internet, alors sur Internet, des milliards de personnes peuvent passer des heures chaque semaine à essayer de rehausser leur prestige virtuel avec des likes. Quand on les met dans une IRM, les gens pour voir ce qui se passe à ce moment-là , et bien on voit qu’ils libèrent de la dopamine à chaque like gagnée et qu’ils en perdent à chaque like perdue. Il faut y retourner pour ne pas perdre de dopamine. »
Extrait #2 :
« Les machines à désirs que sont la publicité et l’industrie de l’automobile, des voyages, du luxe, qui nous font croire que nous avons besoin de ces choses-là pour être heureux. Puis la dictature du regard des autres qui nous convainc qu’il faut être brillant, avoir du succès, et acquérir des signes de réussite pour avoir le droit d’exister en société. Si nous retirons tout cela, peut-être que nos yeux s’ouvriront sur ce que nous avons et sur la joie de le préserver. Nous pouvons œuvrer chaque jour pour tenter de trouver ce regard. Prendre le temps de vivre pour se rendre compte qu’un instant de paix suffit pour être heureux. Ne pas se laisser presser sans cesse. »
Épisode Majelan (application payante) :
« Contrôler son cerveau » - extrait : « l. Avec le développement incroyable du cortex cérébral, homo sapiens a trouvé aujourd’hui une invention incroyable. Internet, alors sur Internet, des milliards de personnes peuvent passer des heures chaque semaine à essayer de rehausser leur prestige virtuel avec des likes. Quand on les met dans une IRM, les gens pour voir ce qui se passe à ce moment-là , et bien on voit qu’ils libèrent de la dopamine à chaque like gagnée et qu’ils en perdent à chaque like perdue. Il faut y retourner pour ne pas perdre de dopamine. »
Extrait #2 :
« Les machines à désirs que sont la publicité et l’industrie de l’automobile, des voyages, du luxe, qui nous font croire que nous avons besoin de ces choses-là pour être heureux. Puis la dictature du regard des autres qui nous convainc qu’il faut être brillant, avoir du succès, et acquérir des signes de réussite pour avoir le droit d’exister en société. Si nous retirons tout cela, peut-être que nos yeux s’ouvriront sur ce que nous avons et sur la joie de le préserver. Nous pouvons œuvrer chaque jour pour tenter de trouver ce regard. Prendre le temps de vivre pour se rendre compte qu’un instant de paix suffit pour être heureux. Ne pas se laisser presser sans cesse. »