Καλημέρα (Good Morning 💙)
L’année 2022 a commencé il y a 12 jours déjà, comment allez-vous ?
Je vous pose (vraiment) la question :
Parce que la réponse m’intéresse
Parce que vous m’intéressez
Parce que je n’ai jamais reçu autant de messages de doutes / questionnements de reconversion
En réalité je ne trouve pas cela effrayant mais positif.
L’innommable
Les media nous bourrent le crâne de nouvelles anxiogènes et on n’ose tellement plus mettre des mots sur “tout ça”, que justement…on en vient à utiliser la formule : “avec tout ce qui se passe en ce moment”, pour désigner le package de trucs infernaux qui s’enchaînent.
Mais…
Comme dirait Thomas d'Ansembourg, l’auteur bien connu du livre “Cessez d’être gentils, soyez vrais !” : il y a bien plus de choses merveilleuses sur notre Terre que de drames.
Bien plus de gens en bonne santé que de maladies.
Bien plus de gens qui s’aiment que de gens qui veulent s’entre-tuer.
Et, énormément de personnes (de plus en plus jeunes) qui veulent donner tout de leur temps et de leurs talents pour rendre le monde plus beau.
Il précise que cela n’enlève rien aux drames qu’il faut regarder en face, sans se la voiler (la face) #DontLookUp - mais qu’il faut résister au désenchantement de tout.
“Look Inside”
L’identité et la connaissance de soi constituent le tout 1er pilier de Bend it Like Socrate.
C’est ce qui différencie autant les parcours BILS, même quand il s’agit de coaching Linkedin en apparence “pratiques”.
Travailler la tactique : sujets éditos, techniques de copywriting, rythme, ton, éléments de langage de vos textes, horaires de publication, connaissance des codes de l’algorithme et de la plateforme etc. est nécessaire et utile.
Mais pas suffisant.
Une fois que vous avez regardé “les meilleurs”, du moins…les plus visibles - et que vous avez tenté de reproduire leur approche, que reste-t-il de vous ?
C’est le coeur de cet edito - avec 3 questions clés qui devraient vous suivre au moins jusqu’à la fin de la semaine et vous aider à défaire des noeuds. Et même à renforcer votre posture et votre assertivité.
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Les 3 questionnements du jour
Qu’est ce que vous vous autorisez ?
Qu’est ce que vous ne vous autorisez pas ?
Quelle légitimité vous vous donnez ?
Pour commencer, ces questions ne sont pas de moi.
Elles sont de Sonia Chiambretto dans le recueil “Lettres aux Jeunes Poétesses” offert par l’une de mes soeurs pour Noël. Dans le Mille 🎯. (PS : On est encore jeune à 37 ans ?)
La nana n’écrit que des phrases dingues. C’est un condensé de pépites.
Par exemple, pour tous ceux qui bloquent sur l’écriture :
“Pose un premier mot.
Un son.
C’est puissant.
Un mot, c’est déjà écrire.
Un mot dans l’espace confiné d’une page peut déployer un monde large.
Ce mot - si tu l’as choisi toi, ce mot-ci, pas un autre - ce seul mot peut créer une explosion.”
Et les 3 questions, alors ?
J’arrive.
Qu’est ce que vous vous autorisez ?
Dans le questionnaire d’onboarding du parcours créateur BILS, je pose quelques questions sur la “zone de génie”.
C’est à dire cet espace où vous êtes plus confiant, plus à l’aise et plus doué que la moyenne des gens.
Un autre indicateur est de voir ce que vous êtes capable de faire même quand vous êtes ultra fatigués.
💙 Je sais par exemple que je suis capable d’écrire même en étant brûlée de fatigue. Il m’en faut beaucoup pour ne plus y arriver. Je ne sais même pas si c’est possible ?
Alors, je m’autorise à écrire quand je veux - sous différents formats. A explorer, à créer des textes, des concepts éditos. A comprendre un peu mieux les besoins des gens et à les sonder par les mots. Parfois des portes s’ouvrent, parfois pas - ou pas tout de suite. Mais je ne me mets aucune limite.
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🔥 Et vous, qu’est ce que vous faites sans freins ?
C’est important de le savoir. Il n’y a pas que vos doutes et vos vulnérabilités. Vous avez aussi des espaces de talent (je déteste l’expression “zone de confort” beaucoup trop culpabilisante et injuste).
Reconnaissez-les et soyez-en fiers.
Qu’est ce que vous ne vous autorisez pas ?
Je remarque beaucoup d’auto censure chez les personnes qui ne savent pas quoi écrire. Comment l’écrire. Si ça vaut vraiment le coup de l’écrire.
On peut aussi parler d’auto sabotage.
En tous cas, tout ce qui revient à laisser parler la voix maléfique dans votre tête qui passe sa vie à vous empêcher de passer à l’action. Certains diront que c’est votre cerveau qui vous protège parce qu’il a peur du changement. Pourquoi pas.
En tous cas, ce n’est pas parce que cette voix parle qu’elle a raison !
Relisez la citation juste au-dessus, elle est vraiment percutante.
Et essayez de repérer ce que vous vous racontez quand vous bloquez.
Ce ne sera jamais un jugement, mais une observation.
💙 Je sais par exemple que j’ai tendance à ne pas m’autoriser à “réussir” (genre : vraiment, de façon explosive) parce que j’ai grandi avec la croyance que : réussir = prendre la place des autres.
Peut-être que le fait d’être une femme n’aide pas avec cette croyance pénible.
Peut-être aussi que la culture française très moqueuse et très critique joue contre ceux qui veulent exprimer leurs talents naturellement ?
Il y a de la place pour tout le monde en réalité. “Réussir” ne veut pas dire nuire à l’autre.
Au contraire même.
Plus vous assumez vos talents. Plus vous rayonnez. Plus les autres réussissent à leur tour.
🔥 Alors… quelles sont ces choses que vous ne vous autorisez pas à faire, ou à être ? Et qui, dans le fond, vous bouffent.
Quelle légitimité vous vous donnez ?
Cette question chapeaute les 2 précédentes. Décidément cette Sonia Chiambretto est douée.
Vous savez ce “syndrome de l’imposteur” servi à toutes les sauces dans tous les storytelling d’entrepreneurs sur Linkedin ?
Ok, je suis un peu cynique mais c’est vrai que les mêmes formats d’histoires reprises à toutes les sauces me lassent pas mal.
Pourtant dans le fond c’est une réalité.
Votre légitimité est à la racine de ce que vous vous autorisez à faire.
Votre sentiment d’illégitimité est à la racine de ce que vous ne vous autorisez pas à faire.
Basique. Simple.
Vous savez ce que j’en pense ?
Qu’en réalité il faut essayer.
N’est pas légitime que celui ou celle qui n’a jamais essayé et qui donne son avis sur tout. Pas celui ou celle qui n’a pas “réussi”.
Essayer c’est déjà réussir. Je le pense vraiment. On apprend tellement, dans le succès comme dans l’échec que toute confrontation à ses peurs pour oser est une réussite. Et une source de légitimité.
🔥 Alors posez-vous la question peut être autrement : qu’avez-vous essayé dont vous pouvez être fier, peu importe le résultat ? Et que n’avez-vous pas encore tenté qui vous permettrait de grandir ?
A retenir…☄
La vie est beaucoup trop courte pour ne pas éclore.
C’est tout. Rien à ajouter de mon côté :)
💙
PARCOURS BILS : 3 PLACES D’ICI DIMANCHE PUIS BREAK ⚡
Voici le tout dernier message que j’ai reçu :
“Bonsoir Marie,
Encore une fois je voulais te remercier.
Te remercier d'être, et d'avoir croisé mon chemin.
Longtemps j'ai envié ta capacité à écrire en permanence. Puis je ne sais pas comment, le déclic est venu. Pas moins de 10 posts (plus ou moins avancés, et qui devront encore être améliorés) écrits cette semaine. Certains en nourrissent d'autres. Mais surtout la vie de tous les jours est un formidable terrain d'expérience, de mots que je note et qui viennent ensuite se glisser tout seuls dans mes posts.
Merci merci merci 🦄✨”
Je suis en train de remonter le fil de messages de ce type depuis l’ouverture des coaching BILS en octobre 2021. Et de les noter (dans Notion 🤓 🤓🤓 #verbatim)
Ma reconnaissance pour ces mots est infinie. Parce que je surmonte chaque jour des contraintes de santé dont j’espère parler un jour (dans un livre ?) et que je ne me suis jamais arrêtée ni de coacher ni de créer.
Avec des témoignages hebdomadaires dithyrambiques.
Pourquoi ? Je crois que c’est parce que BILS touche à l’identité.
Et c’est remuant. Il faut avoir un sacré courage pour oser se lancer, mais les résultats dépasseront toujours vos seuls chiffres (Linkedin ou ailleurs).
Quel prix cela a, ça mmmh … De se trouver ?
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J’ouvre 3 places jusqu’à Dimanche 21h, puis je referme tout jusqu’au 14 février pour me concentrer sur d’autres projets.
Vous me donnez votre feeling sur cet edito en répondant directement à cet email ? Je vous réponds toujours avec joie !
Et…please, partagez-le pour faire grandir BILS et sa philosophie 🔥
Baci, Baci,
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Marie